Fertiliser le maïs : c'est ainsi que vous prodiguez des soins optimaux à vos plantes

Table des matières:

Fertiliser le maïs : c'est ainsi que vous prodiguez des soins optimaux à vos plantes
Fertiliser le maïs : c'est ainsi que vous prodiguez des soins optimaux à vos plantes
Anonim

Le maïs, surtout au début de sa croissance, a des exigences très élevées en termes d'approvisionnement en nutriments et en eau. Un apport suffisant en azote est particulièrement important, surtout pendant la phase de croissance.

Image
Image

Comment fertiliser le maïs ?

Le maïs a besoin de suffisamment d'azote, surtout pendant la phase de croissance. Le fumier d'ortie ou guano convient à la fertilisation naturelle. Dans le cas d'une fertilisation non organique, il est recommandé d'appliquer du phosphore, de la potasse et de la chaux en automne ainsi que de l'azote pendant la phase de croissance (maximum trois fois).

La préparation optimale du sol

Le sol doit être préparé pour la plantation de maïs l'année précédente. Pour ce faire, il est judicieux d’épandre un compost riche en automne. Le fumier de cheval convient également très bien à la fertilisation naturelle. Le compost ou le fumier est enterré et, au mieux, vous pouvez y semer des graines de moutarde ou de la phacélie, qui seront finalement également enfouies au printemps. L'engrais vert contient beaucoup d'azote et d'autres éléments favorisant la croissance et est donc idéal pour la préparation du sol. Avant de semer les graines ou les premières plantes, le sol est creusé profondément, bien ameubli et débarrassé des mauvaises herbes. Du début à la mi-mai, des plants ou des graines de maïs peuvent être introduits dans le massif extérieur.

Fertiliser abondamment pendant la phase de croissance

Particulièrement pendant la phase de croissance, vous devez régulièrement nettoyer le lit de mauvaises herbes et le fertiliser avec de l'azote. Il est conseillé de ne pas administrer plus de trois, voire quatre doses au maximum, sur une période d'environ deux mois. Trop d’azote entraîne finalement une croissance réduite. Si vous souhaitez fertiliser naturellement, il est préférable d'utiliser du fumier d'ortie. Ce liquide facile à réaliser ne sent pas bon, mais il fertilise excellemment.

Comment faire son propre fumier d'ortie

Remplissez un seau en plastique ou un bac en pierre (n'utilisez pas de récipient en métal !) avec des orties fraîchement cueillies et broyées. Arrosez les plantes avec de l'eau jusqu'à ce qu'elles soient enfin couvertes. Placez un chiffon sur l'ouverture. Maintenant, remuez le mélange quotidiennement. Au bout de deux à trois semaines, la fermentation se produit - vous le remarquerez à l'odeur - et le fumier est prêt. Mais attention: arrosez les plantes uniquement avec du fumier dilué (environ 1 part de fumier pour 10 parts d'eau), sinon la concentration est trop forte.

Fécondation non biologique

Si, en revanche, vous comptez sur une fertilisation non biologique, suivez ce schéma pour un succès optimal:

  • Application de phosphore et de potasse en automne
  • Application de chaux avant la plantation/semis
  • Fertilisation azotée avant/pendant la phase de croissance (pas plus de trois fois)

Si la plante atteint la hauteur d'un homme, aucune fertilisation supplémentaire n'est généralement nécessaire.

Conseils et astuces

Au lieu du fumier d'ortie, vous pouvez également fertiliser votre maïs avec du guano. Peut-être que vous élevez vous-même des poules et/ou des pigeons ou que vous connaissez quelqu'un: leurs déjections riches en azote sont idéales comme engrais pour le maïs et de nombreuses autres plantes. Veuillez toujours utiliser une solution très diluée !

Conseillé: